Mais elles ont quoi les marques, avec Facebook ?

L’histoire aura fait couler beaucoup d’encre (enfin, façon de parler) sur la blogo. Entre les septiques et les convaincues, les clans s’affrontent sur Twitter et à travers blogs interposés. Je ne parle pas du divorce de Katie Holmes et de son scientologue de mari mais bien de la palette spéciale Facebook d’Yves Saint-Laurent.

Distribué en 50 exemplaires en France, au prix assez phénoménal de 48€50 (mais bon, c’est YSL quoi), seuls les fans de la page pourront commander.

Plus récemment, c’est Edenens qui se lance un défi dans le réseau social le plus connu : une boutique éphémère estivale a vu le jour. La particularité (parce qu’il en faut une, vu qu’ils ont une boutique en ligne classique) est que la marque s’est associée à ZAO (maquillage soin naturel) pour en faire une édition limitée, justement vendu sur facebook.

La question est, les marques ont-elles besoin de vendre par facebook ? Si la communication sur les réseaux sociaux est primordiale, je ne vois pas bien l’intérêt de vendre du make up dessus. Par soucis de nouveauté et d’exclusivité peut-être ? En tout cas moi, je retourne à mes bonnes vieilles boutiques dans mon centre-ville, là au moins je peux swatcher, tester et observer sous toutes les coutures !

Light Touch Sephora, un dupe du touche éclat de YSL ?

Toujours à la recherche de bons plans et de produits moins chers, j’ai découvert ces deux petites choses sur le site de Sephora, en juin au moment des soldes. A 3,20€, je ne perdais pas grand chose s’ils étaient nuls. Et finalement, ils sont comment ?

Light Touch - Beige 03 et Rose 01

Niveau packaging, ils sont bofs – avouons le. Ce sont des stylos mais il faut tourner l’embout pour faire sortir du produit (et non juste appuyer comme pour le Yves Saint Laurent). Le problème, c’est qu’en tournant une fois, aucun produit ne sort et dès qu’on tourne plus on s’en retrouve avec beaucoup trop. Ce n’est donc pas vraiment économique… Et autre souci, le produit ne sort pas uniformément : il en sort au même endroit, en formant une boule. Donc le pinceau est inutilisable : vous êtes condamnée à le poser au doigt. Pour un pinceau éclat, c’est ballot…

Pinceau YSL et pinceau Sephora - une minuscule différence de taille

Sinon, la texture est agréable. Elle glisse bien sur la peau et « n’accroche » pas (moi qui ai la peau sèche, c’est un gros avantage !).

De la lumière !!!

Niveau couvrance, ce n’est pas trop mal. Ce n’est pas un anti-cerne mais il permet de cacher quelques petits cernes disgracieux (merci de ne pas me faire remarquer que mes cernes sont loin d’être petits – oui ils sont énormes JE SAIS !).

Alors, convaincue ? Je préfère mon YSL, il n’y a pas de doute (niveau efficacité, praticité tout ça). Pour moi, même si le prix est bien moindre (il coûte 10.90€ au tarif hors solde), il ne le vaut pas. Il est bien, certes, mais a trop de petits défauts qui font baisser sa note.