L’histoire aura fait couler beaucoup d’encre (enfin, façon de parler) sur la blogo. Entre les septiques et les convaincues, les clans s’affrontent sur Twitter et à travers blogs interposés. Je ne parle pas du divorce de Katie Holmes et de son scientologue de mari mais bien de la palette spéciale Facebook d’Yves Saint-Laurent.
Distribué en 50 exemplaires en France, au prix assez phénoménal de 48€50 (mais bon, c’est YSL quoi), seuls les fans de la page pourront commander.
Plus récemment, c’est Edenens qui se lance un défi dans le réseau social le plus connu : une boutique éphémère estivale a vu le jour. La particularité (parce qu’il en faut une, vu qu’ils ont une boutique en ligne classique) est que la marque s’est associée à ZAO (maquillage soin naturel) pour en faire une édition limitée, justement vendu sur facebook.
La question est, les marques ont-elles besoin de vendre par facebook ? Si la communication sur les réseaux sociaux est primordiale, je ne vois pas bien l’intérêt de vendre du make up dessus. Par soucis de nouveauté et d’exclusivité peut-être ? En tout cas moi, je retourne à mes bonnes vieilles boutiques dans mon centre-ville, là au moins je peux swatcher, tester et observer sous toutes les coutures !